
LA VÉRIFICATION – Réclamé par les oppositions, le vote de confiance, s’il n’est pas voté majoritairement, peut aboutir à la démission du gouvernement.
C’est la grande étape à venir pour l’exécutif. Le 5 juillet, si la date est bien maintenue, la première ministre Élisabeth Borne est attendue devant les parlementaires pour prononcer le traditionnel discours de politique générale. Une prise de parole au cours de laquelle la chef du gouvernement exposera son programme, d’abord à l’Assemblée nationale, puis le lendemain au Sénat.
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Depuis dimanche, les appels à ce que ce discours soit suivi d’un «vote de confiance» des députés se multiplient. «La première tâche du gouvernement de Mme Borne, puisqu’il y a une Assemblée qui vient d’être élue, c’est de se présenter devant l’Assemblée et de demander la confiance», a ainsi déclaré Jean-Luc Mélenchon, premier à formuler cette demande. «Respectons notre démocratie», a complété l’écologiste Julien Bayou à la sortie de l’Élysée mercredi. «C’est la logique des institutions», a également expliqué le sénateur socialiste, Patrick Kanner.
À ce stade, ni Élisabeth Borne ni Emmanuel Macron n’ont fait savoir…
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